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SEPTFONDS
Un village du Bas-Quercy en Tarn-et-Garonne, ancienne bastide du XIIIème siècle.
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Tarn et Garonne
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Dieudonné Costes est né à Septfonds dans le Tarn et Garonne le 4 novembre 1892, de parents qui exerçaient tous deux la profession d’ouvriers en chapeaux de paille. Sa jeunesse est partagée entre l’école et le rugby, sport qui développera son esprit combatif.
Très tôt, il montre un goût prononcé pour la technique, mais aussi pour le commerce. A l’âge de 14 ans, il quitte le berceau familial pour passer deux années à l’école des Arts et Métiers d’Aix en Provence mais sa soif de concret le fit revenir.
Son goût de la découverte, sa volonté opiniâtre de s’élever dans la hiérarchie, alliés à une robustesse physique hors pair vont, sans doute, faire de lui le pilote le plus complet de son époque.
Il obtient son brevet de pilote sur monoplan Blériot en 1912, à l’âge de 20 ans puis le brevet militaire en novembre 1915 et devient l’as de l’aviation sur le front d’Orient pendant la 1ère guerre mondiale. Il totalisera neuf victoires homologuées et accumulera 2400 heures de vol dont 80 de nuits.
Après la guerre, il entre à la Société Latécoère et participe aux vols sur la ligne Toulouse-Casablanca. Puis il intègre les lignes Ernoult (Bordeaux-Paris) en 1921.
1923 est l’année charnière Il rencontre Maurice Bellonte qui deviendra son coéquipier, alors qu’il fait partie de la compagnie Air Union, sur les lignes Paris Londres.
En 1925, il devient pilote d’essai chez Breguet, et se fait apprécier par le chef pilote Robert Thiery qui met au point les avions de raid. Celui-ci se tue dans un accident d’avion en septembre de la même année, près de Fribourg en Allemagne. Costes n’est que blessé, mais est arrêté et inculpé pour « survol sans autorisation du territoire Allemand ».
A son retour, il devient à son tour chef-pilote chez Breguet. C’est alors que les records vont commencer à s’accumuler :
1926 : à bord d’un Breguet 19 à moteur Hispano-Suiza, il atteint l’altitude de 5000m en 18 minutes et 50 secondes, record pour les avions biplaces.
26 Septembre 1926 : avec le lieutenant René De Vitrolles, il effectue le vol Paris-Assouan (Egypte), pour une tentative de record du monde de distance en ligne droite, soit 4100 km. Retour avec escales à Héliopolis, Gabès, Tunis et Rome (soit 9000 km aller-retour).
28 et 29 Octobre 1926 : à bord du même avion, avec le Capitaine Rignot, il bat le record du monde en ligne droite : Paris-Djask (Iran), soit 5396 km. Retour par Patna, Calcutta, Delhi, Karachi, Bassorah, Alep, Athènes et Rome. A l’arrivée à Paris, 19625 km avaient été effectués en 15 jours, soit 108 heures de vol.
Fin 1926, Costes obtient le Prix Dreyfus destiné à récompenser le meilleur raid de l’année.
10 Octobre 1927 : à bord du Breguet 19 G.R. le « Nungesser-coli » , avec son nouveau coéquipier, le Lieutenant de Vaisseau Joseph Le Brix, ils rejoignent Saint-Louis du Sénégal (4600 km en 26 heures 30), et le 14 Octobre 1927, ils effectuent la traversée Saint-Louis - Natal (Brésil), puis effectuent un tour du monde en 187 jours, soit 57410 km en 43 étapes.
11 au 31 Mai 1928 : ils réalisent un tour d' Europe.
13 et 14 Octobre 1929, Costes et Bellonte tentent une première fois la traversée de l’Atlantique Nord, à bord du fameux avion biplan Breguet GR « Super-Bidon » le « Point d’ Interrogation », mais ont demi-tour aux Açores, à cause des conditions atmosphériques défavorables.
27 et 28 Septembre 1929, ils battent le record du monde de distance, en parcourant Paris-Tsitsikar en Mandchourie. Ils effectuent 7905 km en 51 heures et 20 minutes de vol, à bord du « ? ». Retour par Hanoi, Calcutta, Karachi, Alep, Athènes et Rome.
15 Décembre 1929 : avec Paul Codos, il remporte le record du monde de distance en circuit fermé au départ d’Istres, soit 8029 km en 52 heures et 36 minutes.
1er et 2 Septembre 1930, Costes et Bellonte, sur le « Point d’ Interrogation » , effectuent la première traversée Paris – New-York en 37 heures et 18 minutes , soit 5850 km. Ce vol historique constitue la consécration dans la carrière de Costes qui devient, par la suite, inspecteur technique chez Air France en 1933.
Cette même année, il parcourt 22000 km en 105 heures, avec le mécanicien Véron, à travers l’Europe et l’Afrique. Il est nommé Lieutenant colonel de réserve.
Le temps passe…
Après la guerre, il s’éloigne du monde aéronautique et devient, en 1965, Conseillé Municipal au Mont Dore où il fonde la Société téléphérique de la station.
Il décède à Paris le 18 Mai 1973, et repose depuis au cimetière de Passy.
Sources : "Notre tour de la terre" - Costes et Le Brix - Librairie Hachette - 1928
"Paris - New-York" - Costes et Bellonte - Editions de la Nouvelle Revue Critique - 1930
"Deux records du monde" Costes, Bellonte, Codos - Editions de la Nouvelle Revue Critique - 1930
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Dans les années 1925 à 1930, il aura enchainé les exploits sportifs, dont un tour du monde au cours duquel il rencontrera une première fois Charles Lindbergh sur l’aérodrome de Panama le 13 janvier 1928.
Mais on connait moins son passé de pilote durant la première guerre mondiale, notamment sur le front d'Orient qu'il rejoindra le 12 janvier 1916 à l’âge de 24 ans puis dans l’escadrille Hellénique 531 qu’il ne quittera qu’à l'armistice.
Une première victoire officielle le 29 avril 1917, et au total 9 victoires officielles, 54 combats, 27 bombardements de nuit, 2400 heures de vol dont 80 de nuit, 1 blessure. Un ensemble qui lui valu d’être fait chevalier de la légion d'honneur.
Durant cette période de guerre, ses combats contre Gerhard Fieseler, un des as de l'aviation allemande de la Première Guerre mondiale, sont restés dans les mémoires. Deux hommes rescapés de ce conflit, de la même génération, aux parcours similaires et qui restent toutefois des figures controversées dans leurs pays respectifs.
La vie de Costes a été tout…sauf un long fleuve tranquille…
Photo : Costes et Le Brix avant le départ du Bourget pour le tour du monde, le 10 octobre 1927. De gauche à droite : Dieudonné Costes ; M. Lacoste, administrateur des Etablissements Hispano Suiza ; Louis Bréguet, constructeur de l'appareil ; Joseph Le Brix, navigateur.
Original d'une carte postale des Editions de la Ligue Aéronautique de France. Collection personnelle.
Des défis sportifs pouvant entrainer la mort.
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Le mardi 2 août 1927, l’hebdomadaire « Le Miroir Des Sports » diffusait cet article sous la plume de "R. P. de T.", Roger Peyronnet de Torrès, qui présentait les prétendants Français au titre de N°1 dans la réussite de la traversée Paris – New-York d’un seul coup d’ailes. L’année 1927 reste, dans l’histoire de l’atlantique nord, l’année la plus importante dans le nombre de tentatives, bien que, finalement, la première traversée ait été réussie en septembre 1930 par Dieudonné Costes et Maurice Bellonte, sur le Breguet XIX GR, "Super-Bidon", le "Point d’ Interrogation", soit 5850 km.
Lors des premières tentatives de traversée, les prétendants Français, Charles Nungesser et François Coli, à bord d’un "Levasseur PL.8" nommé "l’Oiseau Blanc", disparaissaient vers Terre-Neuve ou Long Island le 8 mai 1927. Les pilotes ne seront jamais revus malgré des recherches de leur appareil toujours d’actualité.
L’article quant à lui, cite Maurice Drouhin (1891-1928), pressenti par Charles Levine (1897-1991), homme d’affaires et aviateur américain, pour effectuer la traversée de l'Atlantique Nord à bord de son "Wright-Bellanca WB-2" baptisé « Miss Columbia ». Finalement Levine lui préfèra l'aviateur américain Clarence Chamberlin (1893-1976).
Enfin, le duo Léon Givon (1895-1956) et Pierre Corbu (1902-1927), à bord du Farman F-180 appelé « l’Oiseau Bleu » n’a pas voulu marcher à la mort comme Nungesser et Coli. Arrêté sur l'océan atlantique par la brume, l'Oiseau Bleu revint atterrir à l'aéroport du Bourget après 4 heures de vol.
D' autres tentatives de traversée eurent lieu, avec tout autant d' échecs.
JM L
La publicité n’est pas une affaire récente. Déjà au début du 20ème siècle, les marques profitaient de la moindre occasion pour mettre leurs produits en valeur.
Ainsi, Castrol, cette marque britannique de lubrifiants pour moteurs en tout genre, avait fourni Costes en lubrifiants, pour la réalisation de son projet de traversée Paris – New-York par les airs. Traversée est-ouest, jamais réalisée jusque là, alors que trois ans et demi plus tôt, Charles Lindbergh avait réalisé la même traversée, mais poussé par les vents dans le sens ouest-est.
C’est que Costes, malgré son esprit aventurier, ne laissait en réalité rien au hasard…
Pour la préparation de cette traversée réalisée en septembre 1930, 88 heures de vol d’essais furent nécessaires pour avoir un moteur réglé à la perfection. Des mises au point si méticuleuses que le jour J, Costes et son navigateur Bellonte décolèrent du Bourget avec 220 litres d’huile de moteur. Et lorsque l’avion se posa à Curtiss-Field à New-York, ils avaient encore 180 litres de lubrifiants.
Cela valait bien de recevoir tous les encouragements de Charles Cheers Wakefield, fondateur en 1899, de « Wakefield Oil Company » rebaptisée Castrol en 1909, pour ce « coup de pub » à la résonnance mondiale pour sa marque.
Un Breguet XIX sur l’avenue Marcel Lacassagne, à l’époque Route Nationale 126, proche de la pharmacie actuelle ?
Nous sommes en 1931. Un an plus tôt Dieudonné Costes et son navigateur Maurice Bellonte, effectuaient pour la toute première fois la légendaire traversée Paris - New-York à bord de leur Breguet XIX Super Bidon, le Point d’Interrogation.
Absorbé par ses métiers successifs de guerrier, d’aviateur, par ses activités commerciales, Costes avait depuis longtemps distendu ses rapports avec sa famille. Quand il est venu à Toulouse, au cours du tour de France qui suivit le Paris – New-York, il n’était même pas monté « au pays », ou il n’en avait pas pris le temps.
A Paris, quand on lui parlait de sa famille, il avait coutume de dire : « pas de nouvelles, bonnes nouvelles ! »
A la fête de Septfonds, en 1931, son cousin Denis avait pourtant bien carrossé son Amilcar de sport personnelle en Point d’ Interrogation, mais Dieudonné n’y était point. Au grand désespoir de tout un village.
« Confidences » de Philippe Bayart - 1980
Photo 1931 - photographe inconnu - Coll. JML
1er et 2 septembre 1930 Costes et Bellonte réalisent la première traversée de terre à terre Paris - New-York.
Un aller par les airs avec un record à la clé et un retour par l' eau. En Octobre 1930, ils rentrent en France après le triomphe de la traversée.
Le retour se fit en bateau, sur le "France", ce paquebot transatlantique français mis en service en 1912 et qui assura la ligne Le Havre - New York jusqu'en 1932.
Preuve de la renommée mondiale des deux aviateurs : la place privilégiée en tête de liste des prestigieux passagers de ce retour maritime. L' avion le "point d' Interrogation" était aussi du voyage, bien amarré sur l' avant du bateau.
NB : le dernier paragraphe tout en bas est moins glorieux. Nous somme en 1930. L' année également où Hergé prépare son Tintin au Congo sorti en 1931 !!! Des écrits inconcevables de nos jours.
Photo : extraite de septfondspointcom.